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cf/x photo

Produire chaque jour de plus en plus d’images ne laisse pas forcément beaucoup de temps à leur consacrer pour les améliorer. Pourtant rares sont les photos qui ne nécessitent pas d’amélioration.

Autrefois, aux temps de la chimie argentique, chaque photo était développée puis tirée. Si on voulait voir le résultat le plus directement de sa production, il fallait savoir lire un négatif ou, plus intéressant, utiliser un film inversible, c’est à dire travailler en diapositives. Sinon, la pochette revenant du labo contenait un résultat amélioré. Et, à moins de faire soi-même ses développements et tirages, on n’avait pas la main sur ces améliorations.

On rencontrait alors de nombreux photographes amateurs qui refusaient certaines techniques sous couvert d’une inexpliquée pureté alors même que leurs images revenaient d’un laboratoire dont ils ignoraient tout du travail et des traitements pensant naïvement qu’ils avaient sous les yeux le résultat de leur seule technique. Avec le numérique, on rencontre une nouvelle génération de puristes qui voudraient faire du brut de capteur le Graal absolu et nous montrent une production toute chaude sortie du moule et pas mise en valeur. La capacité à voir le résultat immédiatement fait oublier que la phase du développement existe toujours même si la majorité des chasseurs d’images se contente de ce que contient leur carte mémoire en l’état alors qu’il n’a jamais été aussi facile et peu onéreux de les traiter.

Je présente généralement ma démarche comme puriste. C’est à dire que j’essaie de tirer de mes images l’émotion pure telle que je l’ai ressentie au moment de la prise de vue. Et je dois avouer que l’appareil photo est rarement en mesure d’enregistrer cet instant tel quel sans que j’aie à reprendre l’image une fois revenu à la maison. La quête de la pureté peut donc exiger le post-traitement, donc l’amélioration. CQFD. Lire la suite…

Firmware 1.12 pour le K-5

Bon, tout ce qui est signalé, c’est que ça corrige un problème subtil quand on utilise le K-5 avec son GPS accessoire pour des photos du ciel nocturne. Et sans doute tout un tas de petites choses non documentées.

http://www.pentax.fr/fr/reflex-numeriques/telechargement/pentax-k5.html

Pentax K-5 & flash Metz Mecablitz 32 MZ-3

Quand on est un vieux photographe ou un débutant désargenté, on peut se retrouver avec un boîtier flambant neuf et toute une batterie d’accessoires hors d’âge récupérés au fond du fourre-tout au sur un site de vente en occasion.

Si en matière d’objectif il est prudent de ne retenir que le haut du panier des cailloux mis sur le marché à l’époque de l’argentique, côté lumière d’appoint et spécialement flash, il n’y a que rarement des problèmes à recycler un ancien matériel. Après tout, les flashes ne font jamais qu’apporter de la lumière à la scène et la lumière n’a pas changé de technologie depuis son invention.

Bien entendu, les équipements récents exhibent des performances et parfois des fonctionnalités sans comparaison avec les matériels plus anciens. Notamment, l’intégration avec les circuits de mesure matricielle du boîtier, la communication avancée avec ce dernier et la possibilité, pour certains d’entre eux, de les faire évoluer par mise à jour du firmware sont des atouts et des arguments qui, il faut bien l’avouer, donnent envie de se procurer ces petites merveilles.

Les automatismes dont on profite alors permettent de se concentrer sur l’événement sans se préoccuper plus que ça de l’éclairement. Mais en même temps, à laisser ainsi le matériel prendre en charge une très grande partie des paramètres qui vont faire l’image, il y a quelque chose qui va à rebrousse-poil de « l’expert » à qui on a vendu toute cette panoplie. Et on passe à côté de tout un champ d’étude et de connaissance qui peut pourtant motiver l’amateur soucieux d’apprendre et de comprendre.

Si ce qui suit s’appuie sur le Pentax K-5 et le pas tout jeune flash Metz Mecablitz 32 MZ-3 muni de son sabot d’adaptation SCA 3701, le lecteur équipé de matériels d’autres marques pourra trouver matière à réflexion et même transposer cette situation à son propre environnement. Ne serait-ce que parce que le 32 MZ-3, tout comme nombre d’autres modèles de la marque, est adaptable a bien d’autres marques en changeant simplement le sabot. Mais même sans ça, la plupart des conclusions sont applicables à n’importe que boîtier numérique et n’importe quel flash. Lire la suite…

Promos photos

À l’approche de Noël, de nombreuses marques proposent des remboursements pour l’achat d’un de leurs appareils. On ne va pas tout citer, ça ferait trop. Rendez-vous sur le site web du fabricant de l’appareil que vous envisagez d’acheter. On ne sait jamais, vous y trouverez peut-être votre bonheur.

Exemples :

Fouinez, cherchez, ça ne manque pas.

Flash compatibles Pentax P-TTL

À la recherche d’infos sur les flash compatibles avec mon K-5, notamment la rétro-compatibilité de mon Metz mecablitz 32 MZ-3, je suis tombé sur ce site :

http://pttl.mattdm.org/

Avant de changer — éventuellement — de matériel, je vais refaire un test complet du 32 MZ-3 avec le K-5 pour voir si je peux me contenter de cette vieille chose.

Pentax K-5 : premières impressions

Je viens de me faire plaisir en faisant l’acquisition d’un Pentax K-5 nu sur eBay.
Suite à un échange, il n’avait qu’une image au compteur. Autant dire qu’il est neuf.

Je n’ai pas encore eu le temps d’en faire le tour, d’autant plus que la météo aujourd’hui n’était pas avec les photographes. Ce que j’ai surtout remarqué en si peu de temps vient de la comparaison avec le K10D et d’un très rapide survol des 420 pages du manuel.

D’abord, c’est un K-5, pas un K5D ; il n’y a plus de raison pour Pentax de signaler que cet appareil est numérique en ajoutant un D à son nom. De plus, l’étiquette sous l’appareil indique Hoya Corporation et non plus Pentax Corporation (Hoya a racheté la marque en 2007).

Ensuite, on remarque immédiatement qu’il est plus petit, plus léger et, surtout, que les boutons sont disposés autrement. Il va falloir s’y faire. Néanmoins, pour l’essentiel, c’est logique et bien disposé et nombre de fonctions sont accessibles de façon assez similaire à ce qu’elles sont sur le K10D.

Dès le premier déclenchement, le bruit de fonctionnement apparaît nettement plus faible et plus feutré que celui de son prédécesseur et le résultat sur le superbe écran de 3 pouces est tout simplement beau.

Poussons un peu plus loin la comparaison (toujours après une prise en mains rapide et avec les réglages d’origine. Je suis loin d’avoir exploré toutes les facettes de ce nouvel appareil). Lire la suite…

MacGraPhoto bundle n°2

À cette heure, il vous reste un peu plus de cinq jours pour bénéficier du bundle MacGraPhoto 2 regroupant, c’est eux qui le disent, « 9 grandes applications graphiques pour le prix d’une » (soit $39,99 au lieu de $444, c’est à dire une trentaine d’euros).

Les applications en question sont destinées au Macintosh, plateforme de choix pour le traitement numérique des images. On trouve donc dan ce bundle :

Sandvox : un outil de création de site web primé. Ce serait un des meilleurs ; même Apple, qui édite iWeb, lui a décerné un Apple Design Award pour la « meilleure expérience utilisateur sur Mac OS X ». C’est dire.
Snapshot : un outil dédié à l’impression des photos. Imprimer n’aurait jamais été si facile. Contrôle de la taille et de la position des images, possibilité d’utiliser des gabarits préfabriqués.
ImageFramer : voilà de quoi créer des cadres de toutes sortes autour de vos images. L’outil permet aussi de créer des watermarks et de traiter les images par lot.
Sketch : là, on entre dans le domaine du dessin vectoriel. Interface minimaliste revendiquée pour un espace de travail et un nombre de calques illimités.
Layers : un clic et hop, toutes les fenêtres, palettes, icônes, tous les menus, fonds d’écran se trouvent réunis dans un fichier PSD, c’est à dire un fichier pour Photoshop. Si vous ne savez pas avec quoi remplir votre disque dur, voilà une idée…
Posterino : un autre outil de mise en page d’images à fins d’impression, entre autres. Il est aussi possible de créer ses propres cartes postales, posters, pèle-mêles, etc.
Hydra : voici un petit outil de création de photos HDR. Le rendu est orienté réalisme ; les amateurs de HDR extrême en seront pour leurs frais et s’orienteront peut-être plus volontiers vers Photomatix. Hydra est disponible sous forme autonome et comme plug-in pour Lightroom et Aperture. Son atout principal réside dans ses capacités d’alignement des images.
AtomicView : ce logiciel vous propose de gérer vos images, vos vidéos et vos sons. Il saura aussi les convertir en tirant parti au mieux de votre carte vidéo.
Switt Publisher : enfin, un logiciel de mise en page pour mettre en valeur tout votre travail sous forme de brochures, papier en-tête… Comme il se doit, une collection de modèles permet de démarrer rapidement et efficacement.

Pour finir, un bonus vous attend avec DVD-Library qui gèrera votre DVDthèque et pourra même en créer des copies au format .dvdmedia d’un simple clic.

Re-bonus avec une remise de 50% pour 4 logiciels supplémentaires parmi lesquels, dans le domaine de l’image numérique, l’excellent Pixelmator ainsi que ColorSchemer.

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National Geographic’s Photography Contest 2010

Attention, c’est du lourd comme disent les jeunes ou les vieux qui veulent faire jeunes.

Bon, déjà, au départ, National Geographic se distingue par la qualité de ses photos. Alors quand il est question d’organiser un concours, les pointures de tous bords rappliquent et on en prend plein les mirettes.

National Geographic logo

Le règlement est assez strict (encadrement des possibilités de retouche) et même déroutant (certains états ou pays ne peuvent pas participer). Le concours est payant $15. Il est récompensé par un prix de $2500 voire $10000 pour le grand prix, récompenses décernées par un jury d’experts.

Comme il est dit, c’est un concours basé sur les compétences et la chance ne joue aucun rôle dans la détermination des gagnants.

Si donc vous avez une excellente image numérique de moins de deux ans et un peu d’argent de poche, il vous reste jusqu’au 30 novembre 2010 pour vous inscrire et envoyer votre photo. Qui sait, elle sera peut-être publiée dans la revue.

Si vous n’êtes pas dans ce cas, vous pouvez quand même vous en prendre plein la vue en visitant le site du concours. Les images des années précédentes y sont visibles.

Une édition pour les mineurs existe.

http://ngm.nationalgeographic.com/ngm/photo-contest/
http://www.boston.com/bigpicture/2010/11/national_geographics_photograp.html
http://kids.nationalgeographic.com/kids/contests/photo-contest-rules/

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Réduction du bruit du capteur

Prenez votre K10D chéri, tournez la bague de sélection des modes sur Tv, réglez le temps d’obturation sur 30″ et déclenchez. L’appareil effectue une pose longue. Une fois l’image emmagasinée, vous constatez que le K10D ne vous rend pas la main immédiatement. En fait, il est indisponible encore 30 secondes avant d’afficher l’image. Essayez en pose B avec une durée de cinq minutes et vous constaterez que l’appareil reste indisponible cinq minutes supplémentaires après avoir libéré le rideau de fermeture.

La première fois, c’est déconcertant. On se demande ce qui se passe.

Allez dans la page Réglage perso et réglez Réduction du bruit sur Arrêt. Recommencez les tests ; vous constatez maintenant que le K10D est immédiatement opérationnel après avoir pris une photo, même en pose longue.

Le réducteur de bruit semble donc être ce mécanisme qui prend du temps à faire son boulot après chaque image. Mais pourquoi donc prend-il tant de temps ? Pourquoi prend-il d’autant plus de temps que la pose est longue ?

Avant d’aller plus loin, profitons de l’occasion pour rappeler un peu ce qu’est le bruit. Lire la suite…

Nettoyer les franges HDR

Si vous avez expérimenté les techniques HDR, vous aurez sans doute remarqué que les franges colorées dues aux aberrations chromatiques de l’objectif sont considérablement amplifiées. Jusque là, rien que de très normal puisque les techniques HDR visent à amplifier les détails, notamment en jouant sur le contraste local et sur la saturation. Le résultat, recherché, est de révéler des informations présentes mais peu visibles. Comme toute technique d’amplification, le bruit, c’est à dire l’information non désirée, est traitée comme le reste.

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