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Photo stéréoscopique

Image en reliefAvec le matériel numérique, la prise de vue en relief (ou plus précisément, stéréoscopique) obtenue en réalisant simultanément deux clichés depuis des positions légèrement décalées, est devenue bien plus facile. Plus facile à mettre en œuvre et plus facile à valider.

L’apport du numérique se situe essentiellement au niveau financier (en autorisant de nombreux essais à moindre coût) mais aussi au niveau du post-traitement en permettant de réaliser des assemblages facilement et bien plus précisément.

Pour le reste, le principe est le même quel que soit le support, argentique ou numérique, et les contraintes restent identiques. Pourtant, la souplesse du numérique permet d’envisager des fonctions dédiées à la photo en relief. Pentax, par exemple, a proposé à une époque, avec son Optio 330 GS (entre autres), un mode 3D très bien pensé et très efficace. Mais cette option n’est hélas pas disponible sur tous les modèles ni toutes les marques.

Revenons en détail sur le principe pour réaliser de bonnes images stéréoscopiques mais aussi pour comprendre les limites du principe. Lire la suite…

Puisque vous partez en voyage

Voyage et photo, photo et voyage. Ça va tellement bien ensemble. Quelques petites choses à ne pas oublier, quand même.

Les papiers du matériel : on ne m’a jamais embêté avec ça mais il paraît que ça peut servir. Une simple photocopie, bien entendu, factures et certificats de douane.

Pour le chargeur, vérifier le format des prises du pays de destination.

Pas besoin d’acheter une carte mémoire supplémentaire (à moins qu’elle soit vraiment petite) : ce serait bien un comble si on n’en trouvait sur place au besoin. Une batterie de rechange, par contre, ce n’est pas forcément une mauvaise idée.

Si on part longtemps et qu’on pense prendre beaucoup d’images (ça va tellement vite aujourd’hui), préférer le JPEG au RAW (reprogrammer par exemple aussi en conséquence le réglage USER si on l’utilise pour le HDR).

Un nettoyage complet avant et après n’est pas un luxe. Ça peut être l’occasion de faire ou faire faire une toilette au capteur, histoire de ne pas ramener une quantité d’images souillées par des taches.

Selon la destination, on veillera à ne pas trop se charger. De toutes façons, partir léger, c’est toujours mieux. Un zoom trans-standard fait généralement bien l’affaire. Et plutôt qu’un second objectif, emporter un compact en complément est souvent une option bien plus maligne.

Références

http://www.virusphoto.com/6495-le-guide-du-voyage-en-avion-avec-du-materiel-photo.html

DSLRVIDS.COM

Jusqu’ici, les appareils réflex du monde numérique s’étaient généralement débarrassés du mode liveview qui permet de voir sur l’écran arrière l’image en temps réel avant déclenchement.

Ça semblait justifié dans la mesure où, après tout, un réflex, c’est fait pour qu’on mette l’œil à l’oculaire. Néanmoins, certaines prises de vue sont plus faciles à réaliser en regardant l’écran (certaines scènes de reportage, au raz du sol, etc.).

Le mode liveview est donc revenu en force. Avec lui, le mode vidéo, impossible en principe sans liveview puisqu’il nécessite que le miroir reste levé tout au long de la prise de vue.

Les fabricants ont alors immédiatement perçu l’intérêt de pouvoir enregistrer des séquences en HD : là où l’enregistrement de séquences animées restait un gadget ou une fonction accessoire, on profite maintenant de la capacité étendue du capteur, de la capacité mémoire et de la puissance des processeurs embarqués. Du coup, la question se pose : quel avantage y a-t-il à posséder un réflex numérique plus un camescope HD si un seul appareil peut faire les deux ?

Pour le moment, on compte encore les réflex qui proposent cette possibilité mais la polyvalence des usages que permet aujourd’hui le numérique et la puissance de traitement pratiquement sans autre limite que l’imagination devrait logiquement ouvrir un avenir sans entrave au phénomène.

Je vous laisse poursuivre votre réflexion sur le site DSLRVIDS.COM qui vient juste d’ouvrir et dont le contenu ne manquera pas de vous intéresser (attention : c’est en anglais).

[NOTE]

Depuis la parution de cet article, le site en question a disparu. Il semble que l’initiative ait fait long feu.

Microsoft Photosynth

Page d'accueil PhotosynthJe ne sais pas quelle mouche a piqué Microsoft en mettant au point Photosynth, mais après une première visite déçue par l’impossibilité d’utiliser ce machin depuis un Macintosh, j’ai (re)découvert un site qui pourrait devenir assez sympa.

Il en existe, des emplacements sur le web pour afficher ses photos, Flickr, Panoramio, Picasa, etc. Au point qu’il n’est pas toujours évident de faire un choix, à moins d’avoir une intention bien déterminée.

Dans ce décor déjà encombré, exister en créant un site de plus n’est pas évident. Il faut apporter quelque chose qui fasse sortir du lot le petit nouveau. Lire la suite…

Reflex ou compact ? K10D vs A30

Comparer reflex et compact peut sembler osé puisque ces deux types d’appareils se situent sur des créneaux totalement différents du marché.

Ce sont pourtant deux types d’appareils avec lesquels je sors sur le terrain et qui se complètent fort bien. Ceux que j’utilise, les Pentax K10D et Optio A30, ont de plus des caractéristiques qui les rapprochent : la marque, le nombre de pixels, la stabilisation, l’agencement des menus et… la couleur du boîtier.

Comparons d’abord ce qui ne l’est pas pour en venir aux capteurs et aux conséquences. Lire la suite…

Reveal : ajouter ou modifier les données EXIF de vos images

revealAprès avoir numérisé quelques diapos avec mon scanner, j’ai trouvé dommage que ces images soient dépourvues de données EXIF comme celles qu’injectent les appareils photo numériques et qui permettent de connaître la date et l’heure de prise de vue, les valeurs d’ouverture et de temps de pose, la marque et le modèle de l’appareil, etc.

Une brève recherche m’a conduit à dégoter plusieurs outils.

Après quelques tests, Reveal s’est avéré être l’outil le plus pratique si on cherche à éditer les données les plus communes.

L’outil est simple, par certains côté, rudimentaire, mais il s’acquitte de sa mission sans difficulté.

Il est disponible pour Mac, PC et Linux.

Pour ceux qui, comme moi, ont pris la précaution du temps de l’argentique de noter les paramètres de prise de vue, Reveal permet d’injecter ces informations dans les images numérisées.

Note pour les Macusers : Aperçu sait ajouter des données EXIF sous forme de mots-clés (uniquement). Toujours bon à savoir.

K10D : mode USER & HDR

Sélection du mode USER du Pentax K10DA la source d’une image HDR, il y a en principe une série de photos réalisées avec des expositions différentes. On peut se contenter de deux images mais normalement, trois c’est mieux et cinq, c’est très bien.

Il y a quelques règles à respecter : garder la même valeur de diaphragme pour toute la série — ce qui impose de faire varier la vitesse — et réduire autant que possible le temps séparant chaque image de la série.

S’il est préférable de travailler avec un pied, on peut obtenir d’excellents résultats à main levée, surtout avec le stabilisateur intégré au K10D.

Enfin, pour être cohérent avec l’objectif à atteindre, il est préférable d’enregistrer les photos au format RAW plutôt qu’en JPEG.

Les adeptes du HDR trouveront un intérêt certain à disposer d’un appareil photo spécialement étudié pour réaliser ce type de prise de vue. C’est là que le mode USER du K10D va venir au service des utilisateurs Pentax en permettant d’enregistrer une configuration dédiée à cette fin disponible d’une simple rotation de la molette de sélection de mode. Lire la suite…

HDR/HDRI : des images à plage dynamique élevée

Exemple typique HDRiTrès en vogue depuis quelques temps, les images HDR (ou HDRI : High dynamic range images) constituent une tentative de réponse à l’étroitesse, somme toute très relative, de la plage de sensibilité des capteurs numériques embarqués dans nos appareils photo actuels.

Cette réponse essentiellement technique a eu vite fait de se poser comme mode d’expression pour certains. Pour beaucoup en tout cas, elle fait office de martingale pour transformer des images banales en “œuvres”.

Pourtant, loin de n’être qu’une possibilité de produire des images d’un mauvais goût prononcé, la technique HDR permet de développer des photos difficiles et de rendre à la scène ce que l’œil du photographe a pu percevoir et qui dépassait les capacités dynamiques de l’appareil. Dans ce sens, cette méthode, ces méthodes, viennent compléter la boîte à outils du photographe numérique qui désire mettre au service de sa production tout ce qui peut contribuer à en améliorer le résultat. Lire la suite…

Le noir et blanc en numérique : le grain

N&B : le grainOn reproche souvent à la photo numérique en noir et blanc son côté trop lisse, trop froid. Un peu le genre de reproches que les amateurs de vinyle faisaient — font encore ? — au CD audio.

Pourtant, si je me souviens bien, à l’époque de l’argentique, si on disposait de film bruités, on cherchait souvent aussi des pellicules qui étaient dépourvues de grain. Ainsi, on peut noter le velouté d’un XP2 ou les tons continus d’un T-Max 100.

Mais il est vrai que le grain apporte souvent une touche supplémentaire à un document noir et blanc et disposer d’un moyen pour le simuler n’est pas une mauvaise chose.

Voyons donc comment réaliser la chose en quelques opérations simples.

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Photoshop Elements 4.0 pour Mac et les masques de fusion

Photoshop Elements et GIMP sont sans doute les plus utilisés des logiciels pour photographe amateur. Je veux dire parmi les photographes amateurs qui ne piratent pas les logiciels qu’ils utilisent.

GIMP est un super logiciel mais par bien des aspects, il est fouillis et son interface laisse à désirer. Les versions localisées en français le sont souvent de façon approximative. Bref.

J’ai préféré acheter Photoshop Elements 4.0 pour Mac après en avoir utilisé une version limitée dans le temps. Il m’a fallu moins de temps pour en tirer d’excellents résultats que celui qu’il faut parfois consacrer à GIMP juste pour trouver une fonction.

Photoshop Elements propose toute la panoplie des outils vraiment indispensables sans avoir à dépenser une somme considérable pour Photoshop, chose qui ne se justifie que pour un usage professionnel ou pour les amateurs fortunés et véritablement experts.

Il ne manque en gros à Photoshop Elements que deux fonctions dont il est vraiment difficile de se passer : l’outil Courbes et les masques de fusion pour les calques d’image.

Si on trouve des plugins (pour Windows) comblant le premier manque, on peut se débrouiller avec ce que propose Elements pour contourner le second.

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