Photo stéréoscopique
Avec le matériel numérique, la prise de vue en relief (ou plus précisément, stéréoscopique) obtenue en réalisant simultanément deux clichés depuis des positions légèrement décalées, est devenue bien plus facile. Plus facile à mettre en œuvre et plus facile à valider.
L’apport du numérique se situe essentiellement au niveau financier (en autorisant de nombreux essais à moindre coût) mais aussi au niveau du post-traitement en permettant de réaliser des assemblages facilement et bien plus précisément.
Pour le reste, le principe est le même quel que soit le support, argentique ou numérique, et les contraintes restent identiques. Pourtant, la souplesse du numérique permet d’envisager des fonctions dédiées à la photo en relief. Pentax, par exemple, a proposé à une époque, avec son Optio 330 GS (entre autres), un mode 3D très bien pensé et très efficace. Mais cette option n’est hélas pas disponible sur tous les modèles ni toutes les marques.
Revenons en détail sur le principe pour réaliser de bonnes images stéréoscopiques mais aussi pour comprendre les limites du principe. Lire la suite…

Je ne sais pas quelle mouche a piqué Microsoft en mettant au point Photosynth, mais après une première visite déçue par l’impossibilité d’utiliser ce machin depuis un Macintosh, j’ai (re)découvert un site qui pourrait devenir assez sympa.
A la source d’une image HDR, il y a en principe une série de photos réalisées avec des expositions différentes. On peut se contenter de deux images mais normalement, trois c’est mieux et cinq, c’est très bien.
Très en vogue depuis quelques temps, les images HDR (ou HDRI : High dynamic range images) constituent une tentative de réponse à l’étroitesse, somme toute très relative, de la plage de sensibilité des capteurs numériques embarqués dans nos appareils photo actuels.