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B.A.BA : le minimum syndical

Le minimum syndical
Une image à améliorer

Nos appareils photo numériques et les scanners actuels sont de plus en plus performants pour mesurer la lumière et pour tirer de la scène le maximum d’information en respectant des règles toujours plus complexes.

Pour autant, il est assez rare qu’une image puisse être présentée en l’état sans qu’on ait à intervenir.

L’image présente souvent de nombreux défauts : taches, horizon incliné, écarts de lumières trop importants conduisant à une mesure décalée, trop claire ou trop sombre (le plus souvent), etc.

Mais qu’on ne s’y trompe pas, à l’époque de la photo argentique déjà, les images qu’on regardait étaient fort différentes de ce qu’il y avait sur le négatif et, à moins de travailler en inversible, on ne voyait jamais le résultat brut de nos prises de vue.

Les logiciels disponibles aujourd’hui permettent de corriger ces défauts mais ils restent complexes à utiliser et on peut facilement se perdre dans la panoplie des outils qu’ils proposent. Il est du coup très facile de passer beaucoup de temps pour obtenir un résultat décevant quand ce n’est pas moche.

Du coup, si on veut obtenir rapidement un résultat convenable, quelles sont les opérations de base auxquelles il est difficile d’échapper et dans quel ordre les mener ? Lire la suite…

Le noir et blanc en numérique : un peu plus loin

Nous avons déjà vu comment obtenir des images noir et blanc plus intéressantes que celles produites par une simple désaturation.

Rappelons que les techniques utilisées consistaient à intercaler, entre l’image couleur de départ et le calque de désaturation un ou des calques faisant office de filtre coloré. Cette façon de procéder n’est accessible qu’aux logiciels utilisant des calques de réglage (bien qu’on puisse, de façon plus laborieuse, effectuer les opérations, filtrer puis désaturer, en séquence avec les autres logiciels).

Il existe d’autres méthodes pour convertir une image en noir et blanc (sans compter les plugins spécifiques disponibles ici ou là, commerciaux ou gratuits). Lire la suite…

La profondeur de champ

Tout le monde sait qu’une photo c’est net ou c’est flou. Pourtant, à y regarder de plus près, il est extrêmement rare qu’une photo soit totalement nette, d’en haut, à gauche à en bas, à droite. A part dans les paysage et encore, pas toujours.

Exemple d'utilisation d'une faible profondeur de champDans certains cas, une netteté totale est même désagréable. Par exemple, en photo de portait.

En réalité, en toute rigueur, l’image n’est vraiment nette que pour les objets situés à une certaine distance de l’appareil ; la distance qu’on voit affichée sur la bague de l’objectif au moment de la prise de vue. Tout le reste n’est pas net.

Ce n’est pourtant pas l’impression qu’on a en regardant l’image. Elle nous paraît nette bien en avant et bien en arrière de cette distance et dès qu’on s’en écarte vraiment, alors là, oui, c’est flou. D’autant plus flou qu’on s’éloigne de la distance de mise au point.

Et bien, la plage dans laquelle on considère les choses comme nettes de façon acceptable, c’est à dire entre le premier plan net et le dernier plan net, s’appelle la profondeur de champ. Et c’est une caractéristique essentielle à maîtriser pour faire des photos agréables et dynamiques, pour en mettre en valeur une partie et en occulter d’autres. D’autant que, gavés d’images depuis notre enfance au travers de nos écrans, magazines, affiches, nous avons appris à les “lire” et sommes sensibles au respect de cette grammaire.

Voyons donc les paramètres qui influent sur la profondeur de champ, donc les manettes sur lesquelles on pourra jouer pour accroître ou réduire la profondeur de champ. Pour la contrôler. Lire la suite…

Définition, résolution, taille, etc.

Pas toujours facile de s’y retrouver dans toutes les caractéristiques d’une image numérique. On parle de haute définition, de haute résolution ou d’image de grandes dimensions ou de grande taille.

Tout ceci traduit un manque évident de précision ; il y a trop de termes pour trop peu de sens. Et trop souvent, on emploie l’un à la place de l’autre.

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Le noir et blanc en numérique : premiers pas

Noir et blanc numériqueRien de plus facile, apparemment, que de générer une photo noir et blanc depuis une image numérique.

Et pourtant, passée la joie des premiers essais, on est vite déçu par le résultat si on est un tout petit peu exigeant.

Car le résultat est souvent plat, terne. Il n’est pas noir et blanc ; il est gris. Voici donc une première exploration des solutions qui s’offrent à nous avec leurs avantages et leur inconvénients.

Indiquons tout de suite que les opérations à réaliser ne seront pas décrites ici en détail. Ainsi, il sera facile d’adapter la marche à suivre aux outils dont vous disposez. Ça oblige aussi à comprendre ce qu’on fait plutôt de suivre aveuglément une recette miracle. D’ailleurs, il n’y a pas de miracle. Il n’y a pas de “meilleure” image. A chaque étape, il faut faire des choix et ce n’est pas un logiciel qui les fera à notre place. Lire la suite…

K10D : le saviez-vous ?

Le manuel livré avec le K10D est assez volumineux. Pourtant, il ne fait que décrire les fonctionnalités sans trop entrer dans les détails et certaines choses n’y sont même pas mentionnées.

Il est vrai que le K10D se qualifie “reflex expert”, donc s’adressant a priori à un public averti ayant des bases en photos allant bien au delà du simple cadrage-déclenchement. Néanmoins, il est fort possible que certaines choses vous aient échappé. Lire la suite…

K10D : du bon usage du mode USER

La fiche technique du Pentax K10D est longue comme un jour sans pain. Les critiques, qu’il s’agisse des magasines ou des revues sur le web, sont élogieuses dans l’ensemble.

Pentax a introduit dans cet appareil certains éléments qui ont fait le succès des boîtiers précédents ainsi que des nouveautés dont certaines exclusives :

  • RAW DNG (digital negative)
  • bouton RAW pour passer en RAW le temps d’une vue
  • mode Sv (priorité à la sensibilité)
  • mode TAv (pilotage de la sensibilité par le couple diaph-vitesse)
  • bracketing avancé
  • développement RAW->JPEG directement sur le boîtier
  • Etc.

Le parcours des menus montre une richesse qui peut faire peur au début mais qui montre combien le K10D est personnalisable et sais se plier aux préférences de son propriétaire.

Le nombre important de possibilités de paramétrage, bien qu’il permette pratiquement de se fabriquer un K10D sur mesure, peut créer chez l’utilisateur un sentiment de frustration : très souvent, on veut une chose et son contraire. Je préfère shooter en JPEG mais j’aimerais bien aussi en RAW. Je préfère le PEF mais je ne déteste pas le DNG. Etc.

Sur la molette qui surplombe la partie gauche du boîtier se trouve une position, USER, trop peu utilisée. Pourtant, elle peut aider l’utilisateur à répondre à cette frustration et permettant une chose et son contraire.

Commençons par en décrire le fonctionnement avant de voir ce que ce mode peut avoir de génial. Lire la suite…

K10D : flash Metz Mecablitz 32MZ-3

Le SFXn surplombé du Metz mecablitz 32MZ-3En plus de ses caractéristiques intrinsèques, saluées en long et en large lors de sa sortie, le K10D est une solution évidente pour tout possesseur d’un ensemble Pentax ou compatible avec la monture K. La possibilité de monter sur le K10D sa panoplie d’objectifs, bagues allonge ou d’inversion, constitue dans ce cas un avantage.

Pour autant, la compatibilité des objectifs n’est pas tout. Un système photographique comporte d’autres éléments (on a vu comment réconditionner un déclencheur F). Qu’en est-il, par exemple, de la griffe porte-accessoire ? Lire la suite…

Recycler le déclencheur souple d’un SFXn sur un K10D

Passer au numérique quand on vient de l’argentique, même en prenant soin de rester dans la même marque, rend de facto obsolète une partie de la panoplie.
Voyons comment recycler le superbe déclencheur souple du Pentax SFXn pour l’utiliser avec un K10D.
Ce bricolage pourra inspirer les utilisateurs des autres marques.

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